Michael, la quarantaine passée, est directeur d’une entreprise d’ingénierie multinationale, basée au Royaume-Uni. Enfant, il souffrait sévèrement d’asthme et de bronchite, et il était condamné à mourir avant ses 11 ans.
On attribuait ces maux à de nombreuses allergies et en particulier au pollen des graminées. Il avait suivi de nombreux traitements, y compris des piqûres anti-allergiques qui entravaient ses capacités pulmonaires de 10 %.
Les années passant, le mal s’atténuait, mais persistait l’hiver, durant lequel il devait faire des inhalations pour dilater ses poumons et enrayer l’infection locale.
Après avoir consommé pendant quelques mois du jus d’Aloe Vera, il nota qu’il utilisait de moins en moins souvent son inhalateur.
L’hiver, il était sujet à de fréquents maux de gorge qu’il attribuait à ses problèmes respiratoires ; ils disparurent eux aussi.
Malgré ses voyages fréquents, son travail stressant (deux facteurs favorisant l’asthme), l’inhalateur est devenu inutile.
Le cas de Michael n’est pas unique. Beaucoup d’asthmatiques ont noté les mêmes résultats que lui, ils le doivent tous au jus d’Aloe Vera, au Gel d’Aloe Vera ou au jus additionné de canneberge.
Les effets ne se produisent certes pas du jour au lendemain et il est indispensable de s’assurer d’abord de la bonne qualité du produit et de persévérer dans le traitement plusieurs mois pour juger de ses bienfaits.
Extrait de l’ouvrage « Aloe Vera Remède naturel de légende » par Alasdair BARCROFT aux Editions Medicis